Relation-client
Le pouls de la relation client en 2003
La Semaine du Marketing Direct et de la Relation Client livre son étude annuelle. Conclusions: les entreprises maîtrisent de mieux en mieux la CRM, et l'intègrent totalement à leur stratégie globale. (Lundi 30 septembre 2002)
     
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Chaîne Relation-client du JDNet Solutions
Fini les choix technologiques, les sociétés globalisent leur investissement CRM, le rendant multi-canal et multi-activité. La phase d'expérimentation laisse place à un déploiement plus global, partie intégrante de la stratégie de l'entreprise. Ce changement de problématique se reflète dans l'édition 2003 du "Baromètre de la Relation Client", réalisé par le groupe Exposium, à la suite de la Semaine du Marketing Direct et de la Relation Client (SMDRC), et en partenariat avec KPMG Consulting France et l'Union Des Annonceurs (UDA).

Nouveaux enjeux
Cette enquête, menée auprès de 300 dirigeants des fonctions informatiques, commercial marketing, communication, financière, et de directions générales, issus de toutes les branches de l'économie française (de la banque à l'éducation, en passant par la construction) et d'entreprises grandes ou petites, part du constat que, plus mature et mieux implantée dans les entreprises, la CRM ne se résume plus à des choix technologiques.

Le Baromètre a donc choisi de porter son attention sur les quatre domaines suivants :
La vision des entreprises et la CRM;
Les solutions de CRM répondant à leur besoin;
La gestion et la conduite de chantier CRM;
Les premiers retours d'expérience;
pour dégager autant de tendances majeures et encore autant de facteurs clés de succès :
centrer le projet sur les hommes;
maintenir un bon niveau de qualité de l'information
avoir une bonne vision des ROI;
aligner la problématique CRM sur les enjeux de l'entreprise.

De l'importance du modèle relationnel et d'une stratégie incrémentale Ainsi, selon les conclusions du Baromètre, les pratiques CRM des entreprises (statégie, utilisation des canaux, priorités d'investissement et implémentation de solutions) dépendent principalement du modèle relationnel (B2B, B2C, B2B2C) de celles-ci, plutôt que de leurs secteurs d'activité. Les entreprises B2B, par exemple, utilisent majoritairement les canaux traditionnels (centres d'appels, mailing papier et électronique) et préfèrent les commerciaux sur le terrain.
Egalement, le niveau d'engagement vers la CRM dépend du modèle relationnel de l'entreprise. Si en 1999, le B2B était le modèle relationnel dans lequel le plus grand nombre de projets étaient lancés, il est aujourd'hui devancé par le B2C, et rattrapé par le B2B2C.

Par ailleurs, les entreprises préfèrent progresser étape par étape. Elles investissent successivement dans les fonctions opérationnelles (gestion du service client, gestion des opportunités...), les fonctions analytiques (mesure de la performance, analyse des données...) et les fonctions marketing (gestion des cibles et des campagnes...). Cela leur permet de progresser à niveau équivalent dans tous les domaines de la CRM.
Enfin, une des tendances de l'enquête similaire menée l'année précédente, qui voyait le multi-canal et le multi-activité se développer, s'est encore renforcée cette année.
[Serge Descombes, JDNet]
 
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