 |
|
|
| |
|
|
|
|
SP2, J2EE, Novell, SCO... |
| Le SP2 entrerait en conflit avec les plates-formes AMD dans certaines conditions - Trilog propose un environnement de développement Lotus Notes proche de J2EE - Novell commercialise une solution de gestion de grappes de serveurs - BayStar sort du capital de SCO.
(
31/08/2004
)
|
| |
|
 Sécurité.
Le Service Pack 2 pour Windows XP serait susceptible d'entrer en conflit avec les plates-formes AMD (basées sur des processeurs 64 bits) dans certaines conditions. C'est ce qu'indique Microsoft sur son site Web. Ce disfonctionnement concernerait à la fois les modèles de type PC (processeur Athlon) et serveur (Opteron). Selon des représentants d'AMD, il toucherait notamment les machines équipées de lecteurs de DVD Realmagic Hollywood.
J2EE. Trilog propose un environnement de développement Lotus Notes (FlowBuilder) adoptant une logique de travail comparable à l'approche J2EE (pour Java 2 Enterprise Edition). Objectif poursuivi : faciliter la prise en main de projets collaboratifs Lotus par des développeurs issus du monde Java. Concrètement, FlowBuilder s'adosse à une couche de Web Services pour traduire de façon standardisée les modèles de programmation Domino.
Infrastructure.
Novell commercialise une solution de gestion d'infrastructures serveur. Baptisée Novell Business Continuity Clustering, elle est centrée sur l'administration de clusters en miroir disséminés sur plusieurs implantations. Cet outil a pour but d'orchestrer des processus de synchronisation de données entre grappes. Un processus qui lui permet d'assurer le maintien en production des services applicatifs en cas de difficultés techniques de l'un des systèmes par l'activation d'un site de secours.
Linux.
BayStar sort du capital de SCO. L'opération fait suite à un point de dissension entre les deux acteurs. Le fond d'investissement dénonçait déjà depuis quelques mois l'orientation prise par l'éditeur "visant à faire respecter son droit de propriété" autour de l'Unix System V. "Le nombre limité de prospects présent sur ce marché ne permet pas d'atteindre une croissance significative", expliquait-il notamment. Partant de là, le capital risqueur engageait la société à se retirer du segment Unix, ce qu'elle n'a pas fait. |
|
|
|
|
|
|
