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En évitant les écueils d'une approche uniquement technique et dangers, Mehari permet au contraire, selon le responsable méthodes du Clusif, d'éviter d'investir dans des risques non critiques, ou dont la probabilité de survenance est faible, et ainsi de surévaluer les dépenses en sécurité.
De plus, Mehari s'appuie sur un module d'évaluation des enjeux d'un dysfonctionnement afin de les mesurer de façon optimale et d'éviter par ce biais d'investir dans la couverture de risques peu ou pas importants.
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